Interrogé par Sud-Ouest, notre manager, Christophe Urios, s’est confié sur les difficultés de l’UBB dans le domaine du jeu au pied face à Lyon : « On a un fonctionnement avec un premier rideau fort. Le 9 fait tampon entre le premier et le deuxième rideau. Et on a un troisième rideau profond avec 10-15 pour couvrir notamment le 50 : 22 (Ndlr, la nouvelle règle qui permet à une équipe de récupérer le lancer en touche dans les 22 mètres adverses) […] Le jeu au pied était particulièrement bien tapé, vraiment entre les deux zones. Au départ, Max mettait de la pression au 9 et au 10 surtout, mais il n’arrivait pas à couvrir son rôle dans l’entre-deux ».