Olivier Roumat : « S’il m’attrape par contre, je ne suis pas bien, parce qu’il a pas un pet de gras, il est tanké »
Interrogé dans les colonnes de Tampon, l’ancien deuxième ligne international, Olivier Roumat, a confié qu’il aurait bien aimé entraîner son fils, Alexandre, notre troisième ligne : « Moi j’aurais aimé l’entraîner mon fils, je l’aurais triqué, con ! Pas au sens de le punir, mais j’aurais été plus exigeant avec lui qu’avec les autres, parce que quand tu connais ses faiblesses, ses qualités, tu sais où tu veux l’emmener […] Alexandre, dans la piscine, je lui faisais travailler les mains, droite, gauche, avec la main sur l’oeil droit, avec la main sur l’oeil gauche (il joint le geste à la parole, ndlr). Je lui tapais des petites chandelles aussi, sur le parking […] De temps en temps, je montais moi aussi, pour lui mettre un petit coup d’épaule… Même là, quand il vient à la maison, je lui mets en passant, dans le couloir… Toujours ! ‘Aïe’, il me fait… Attends, t’as mal là ? Mais c’est rien… Gaine-toi, toujours ! […] S’il m’attrape par contre, je ne suis pas bien, parce qu’il a pas un pet de gras, il est tanké. Quand on se chicane comme ça, sa mère elle devient folle, je vous jure« .