Dans le cadre d’une interview qu’il a accordé au nouveau magazine rugby Flair Play, pour le premier numéro, notre demi de mêlée, Baptiste Serin, revient sur les personnes qui l’entourent et qui l’aident dans sa carrière : « J’ai la chance d’évoluer avec Heini Adams, qui m’a beaucoup aidé à être là où j’en suis aujourd’hui. Il m’a accueilli de très belle manière et je travaille encore avec lui. Même en tournée, je l’ai appelé avant et après le premier match, durant la semaine, et après le deuxième match. Je vois, sur Bordeaux, un prépa mental qui m’aide depuis un peu plus d’un an, à optimiser mes ressources, à évacuer le stress. J’ai moins d’appréhension avant de jouer parce qu’il me permet d’avoir une plus grande confiance en mes capacités, notamment pour le tir au but. Jusque-là, je voyais Christian Ramos, avec les moins de 20 ans. Mais en raison de son emploi du temps, avec les équipes de France de hand et de rugby, c’est devenu compliqué pour lui de continuer à me suivre. Je suis en contact avec Vincent Manta, mon coach du pôle espoir, qui me suis toujours. On s’appelle souvent. J’ai gardé un bon souvenir de Vincent Etcheto, parce que c’est lui qui m’a fait commencer. Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour moi« .