Poirot : “Il est de Bergerac, moi de Lalinde. C’est un peu la mafia, il était obligé de me recruter”

    Jefferson Poirot

     

    Jefferson Poirot estime qu’il faut arrêter avec la logique qu’un jeune ne doit pas avoir forcément de responsabilités. Le pilier de l’UBB est aujourd’hui un des fers de lance du projet de l’Union, et c’était écrit… « En France, on a peut-être trop souvent l’habitude de dire qu’on est toujours trop jeune. Là, ça fait 5 ans que l’on est au club. On a commencé à 18, 19, 20 ans à jouer ensemble. On a eu nos difficultés. On commence à sportivement être bien au niveau. Peut-être que ça a été une bonne chose et que c’est maintenant qu’il est temps, une fois que l’on a muri et que l’UBB nous a laissé la chance de faire autant de matches, d’essayer de porter le projet et de progresser encore plus […] J’ai toujours eu une bonne relation avec Laurent Marti. Il est de Bergerac, je suis de Lalinde. C’est un peu la mafia, il était obligé de me recruter ».

     

    France Bleu Gironde