Christophe Urios : “On leur avait donné des trucs pour qu’ils absorbent plus vite le décalage”

     

    Interrogé au micro d’ARL, notre manager, Christophe Urios, s’est confié sur le retour des internationaux : “Les Argentins bronzés, les Géorgiens plutôt blancs et les Français heureux de leur tournée. Ils faisaient plaisir à voir et on en avait besoin après le match du Racing. On avait besoin de cette bouffée d’oxygène. Ca nous a fait du bien. Ils étaient contents d’être là, d’être revenus“.

     

    Il est aussi revenu sur la gestion du décalage horaire pour les Argentins, qui ont eu un long retour depuis l’Australie : “On savait qu’ils allaient être plutôt bien au départ, un peu moins bien après, mais finalement ils ont bien dormis. On leur avait donné des trucs pour qu’ils absorbent plus vite le décalage. Ils sont habitués les Argentins, notamment ceux qui jouent avec les Jaguares. Un peu moins Santi (Cordero). Ils ont bien dormi tout le trajet, ils sont en business. Il y a pire, si tu le fait dans la bétaillère, ce n’est pas pareil. Guido (Petti) s’est réveillé à 2h du matin, il s’est rendormi à 4h. C’est aussi pour ça qu’on avait fait ce genre de semaines, pour digérer leur décalage. Il faut arriver à se caler très vite, ne pas dormir la journée. Mais ils étaient très bien. Ils m’avaient envoyés des textos la semaine dernière pour me dire qu’ils étaient prêts pour le match de Northampton. Comme les Français d’ailleurs“.