Interrogé par Sud-Ouest, le président de l’UBB, Laurent Marti, ne voit pas son équipe comme ayant cassé un plafond de verre : “Je n’ai jamais raisonné comme ça. L’UBB a failli se qualifier deux fois et ne l’a pas fait à cause de petits détails (7^e en 2015 et 2016). Mais le club n’avait pas les moyens d’aujourd’hui, même si la concurrence était moins forte. On l’a fait, on ne l’a pas fait, le plafond de verre… Je m’en fous de tout ça. Ça veut dire quoi ? Si Beauxis avait passé sa pénalité, nous aurions fini 6^e. Et si on avait perdu sur le match d’après ? Qu’est-ce que ça aurait changé dans l’histoire du club ? Absolument rien ! Se qualifier ou pas, ça ne change pas l’histoire d’un club“.