Christophe Urios : « Ce qui me tarde, c’est de sentir l’odeur des merguez »

 

Interrogé en conférence de presse, notre manager, Christophe Urios, est revenu sur ce qu’il avait envie de retrouver demain avec le retour du public au stade : « On s’est assez plaint l’année dernière de ne pas partager avec les gens. Si maintenant qu’il y a des gens on va trembler, sans déconner… Il faut savoir ce que l’on veut. L’année dernière, je me suis vraiment fait chier. Les matchs étaient long, arriver à ces matchs sans personnes… Tu sais ce qui me tarde demain ? Je vais te le dire. Ce qui me tarde, c’est de sentir l’odeur des merguez. Non pas que j’aime ça, mais parce qu’il y aura du monde autour du stade, les gens vont être avec les drapeaux, ca va vivre. C’est ça le rugby pour moi. Après, tu gagnes ou tu perds… Il faut mieux les gagner évidemment. Mais c’est ça que je veux et le public est important. Quand on arrivait à ce stade l’année dernière, il n’y avait personne peuchère. C’était terrible. On a ressenti un peu ça sur la fin de saison quand on a pu mettre un peu de monde et j’espère que demain on sera nombreux pour qu’il y ait cette communion forte parce que je sais que les gens ça leur a manqué, nous ça nous a extrêmement manqué, que nos familles soient dans les tribunes aussi. C’est ça le sport que j’aime, les merguez aussi…« .