Interrogé par Nans Ducuing, lors de son passage dans l’émission Salon VIP, sur les antennes de BeIN Sports, notre ancien demi de mêlée, Baptiste Serin, sur le comportement de sa mère en tribune : “Il me soule […] J’ai joué 10 ans à Bègles, donc forcément mes parents sont connus comme le loup blanc, surtout ma mère […] J’étais invité au mariage de mes amis, Nans, Darly Domvo un autre copain de Bègles et mes parents sont invités aussi. Ce sont deux spécimens à Chaban Delmas. Un jour, il y a la femme de Louis-Benoît Madaule, un ancien joueur de l’UBB, qui me demande si mes parents n’étaient pas là au match. Je lui réponds qu’ils n’étaient pas là, c’était rare quand ils ne venaient pas. Et elle me réponds qu’ils se sont vraiment fait chier dans les tribunes. J’ai choppé ma mère et je lui ait demandé d’arrêter, j’ai eu le souvenir de quand on était tout petit et qu’elle était au bord du terrain : ‘Aux jambes, aux jambes’. Mais c’était un peu la princesse des tribunes à Chaban. Rien de méchant. Ce sont des personnes qui sont entières et passionnées et qui ont de l’amour pour leur fils et pour l’équipe dans laquelle ils jouent. Ils sont allés voir Bègles alors que je n’y jouait plus par exemple. Ils ont un amour pour les mecs avec qui j’ai partagé plusieurs années. Quand j’ai signé à Toulon, j’ai pris mes parents entre 6 yeux du coup. Et je leur ai dit que ça serait niet, que l’on était pas à Bègles, surtout ma mère à qui j’ai dit de ne rien dire, que ce n’était pas Bègles ou tout le monde la connaissait et que je pouvais laisser passer quelques trucs. A Toulon j’arrive et je ne connais personne. Je n’avais pas envie qu’au deuxième match on me demande si ma mère c’était la blonde dans les tribunes. J’ai essayé de faire passer le message et ils se tiennent donc c’est bon. Tant qu’ils se tiennent, ils pourront revenir“.

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