Interrogé dans les colonnes de Tampon, l’ancien deuxième ligne international, Olivier Roumat, est revenu sur ce que cela représentait pour, Alexandre, d’être son fils : « Au tout début il en a un peu souffert d’être ‘fils de’. Quand il jouait à Hossegor, je me mettais aussi dans un coin pour ne pas attirer l’attention. Parce que sinon les gens venait le voir et ça l’emmerdait. Parce que les gens, même s’ils sont braves, gentils et tout, ils se rendent pas compte de la portée des paroles. ‘Ouais, j’espère que tu seras aussi bon que ton père !’. C’est un truc qu’il ne faut pas dire […] Moi je lui ai dit : ‘Je vais t’expliquer comment ça va se passer, Alexandre : pendant un certain nombre d’années, tu vas voir que les gens vont comparer, t’y peux rien, et après tu vas te faire ton prénom, ta place, et ça va s’arrêter. Moi, ma réussite ce sera quand les gens diront : ‘Vous voyez le vieux monsieur là-bas ? C’est le père d’Alexandre »« .