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Sipili Falatea : « J’ai dû appeler mon père. Il m’a dit : ‘si c’est pour le rugby, tu peux les couper' »
Interrogé par l’Equipe, notre pilier droit international, Sipili Falatea, est revenu sur le moment où son entraîneur à Colomiers, Didier Sanchez, lui a demandé de couper ses dreadlocks : « Dans les temps anciens chez nous, ceux qui portaient des cheveux longs étaient considérés comme des caïds, ceux à qui on devait le respect […] J’ai dû appeler mon père. Il m’a dit : ‘si c’est pour le rugby, tu peux les couper’ […] J’ai eu l’impression de devenir un autre, de ne plus être moi-même. Aujourd’hui, j’ai laissé une petite tresse, ça fait joli »