Jean-Baptiste Dubié : « Mon pari n’avait ni queue ni tête, mais j’ai gagné 150 $, en misant sur un mec qui était à 60 contre 1 »

 

Interrogé par Midi Olympique, notre ancien trois-quarts centre, Jean-Baptiste Dubié, a raconté une anecdote sur l’achat d’une table et de chaises, à plus d’un kilomètre à pied, un jour de Melbourne Cup : « Au cours de cette journée, les gens s’habillent comme pour un mariage. Tout le monde est beau gosse. Avec Alexia, on était dans la rue, en train de porter notre table, qui pesait un âne mort. Les gens autour de nous regardaient. Ils étaient tous cramés, se demandaient ce qu’on était en train de faire. Au final, on a été voir la course avec nos potes dans un bar. Pendant une heure, la vie s’arrête, tout le monde va au pub et parie. Moi, je ne captais rien, j’ai lu un article où ils expliquaient quels étaient les favoris. J’ai parié sur un chiffre, en pensant que c’était le numéro de mon cheval, alors qu’en fait, il s’agissait de son ranking aux yeux des bookmakers. Mon pari n’avait ni queue ni tête, mais j’ai gagné 150 $, en misant sur un mec qui était à 60 contre 1 ».