Sa signature à l’UBB en tant qu’entraîneur des avants avait pu un peu surprendre, puisqu’avant d’arriver, il avait occupé pendant de nombreuses années une position de numéro 1. Mais pour Jacques Brunel, ce n’est pas un problème. Il s’en explique au Républicain : « Ca peut sembler bizarre mais quand j’ai signé à l’UBB, j’avais aussi d’autres propositions. Mais j’ai eu un coup de cœur pour le projet du club. Il faut dire qu’en 2011, quand j’ai repris la sélection italienne, j’avais proposé à Raphaël Ibanez – que j’ai eu sous mes ordres en équipe de France – de m’accompagner dans le staff. Il avait hésité mais ça ne s’était pas fait. Cinq ans plus tard, c’était à son tour de me contacter pour venir le rejoindre à l’UBB et j’ai accepté”.