Laurent Marti est avant tout un chef d’entreprise, et c’est grâce à cela qu’il put se lancer dans l’aventure UBB. A la question de savoir si l’Union est un dérivatif ou un moyen de décompresser, le Président de l’Union répond que “c’était une nouvelle passion, un nouveau projet de vie. J’y mettais la même énergie que pour développer mes affaires. C’est plus difficile à contrôler. Mais je n’ai jamais décompressé avec l’UBB. Encore aujourd’hui, ma décompression, c’est quand je retourne au boulot”. Résultat, “les jours de match, quand on gagne, c’est du bonheur absolu, du bonheur puissance 1000. Il y a les victoires et le plaisir de voir le stade Chaban Delmas plein. Le reste du temps, ce ne sont que des emmerdes”.

Sud Ouest