Pour Sud-Ouest, Matthew Clarkin, l’ancien capitaine emblématique de l’UBB, revient sur la stagnation que semble connaître l’UBB cette saison : « Si on n’avance plus, stagner, ça revient à reculer. Quand on regarde les clubs concurrents, comme Pau ou La Rochelle par exemple, qui sont en train de monter et mettre en place des projets sportifs intéressants, j’ai plutôt l’impression que nous sommes en train de reculer légèrement, plutôt que de stagner […] Dans un club de rugby, il y a beaucoup de pièces détachées, certaines bougent, d’autres tombent… Il suffit qu’il y ait deux ou trois choses qui soient mal réglées pour que la machine arrête de fonctionner correctement. C’est un peu trop facile pour moi qui suis aujourd’hui à l’extérieur de dire : ‘C’est ça qui ne va pas’. Je reste à ma place, je garde mon avis pour moi. Je fais confiance aux intéressés pour se poser les bonnes questions, trouver les bons réglages, et changer les pièces qui ont besoin d’être changées pour que la machine se remette à avancer« .