Dans les colonnes du Midi Olympique, notre ancien capitaine, Matthew Clarkin, est revenu sur sa première rencontre avec Marco Tauleigne et ses débuts en équipe première de l’UBB : “La première fois que je l’ai vu, c’était avec les espoirs. Il traversait le terrain, on aurait dit un homme au milieu de gamins, c’est quand même bon signe […] Quand il est arrivé, je lui ait fait un peu la musique comme on dit, pour garder du temps de jeu car je savais qu’il allait me piquer ma place. Mais la dernière année, c’est tout juste si je ne faisais pas exprès de me blesser pour le voir jouer. Je voyais bien quel était son potentiel […] Marco Tauleigne est un joueur hybride. Il a le profil du numéro 8 moderne. Il a pour lui, la puissance, le talent, l’adresse gestuelle, mais aussi la lecture du jeu. C’est très important et ça lui donne à mon avis, une petite longueur d’avance sur Louis Picamoles qui est très fort, c’est vrai, en puissance pure“.