Invité sur le plateau de TV7 pour participer à l’émission Top Rugby, notre manager, Christophe Urios, est revenu sur l’avantage que pourrait avoir l’UBB de savoir avant de jouer si elle jouera un quart de finale à domicile (si Castres ne s’impose pas à Worcester) : « Forcément que ça va nous enlever une forme de pression, même si ce qui était important quand même, c’était de se qualifier. Après, effectivement, on est de plus en plus exigeant, on a envie de faire ce quart de finale à Chaban Delmas pour tout le club et notre public. Mais on verra comment ça va se passer […] Un quart de finale, ce n’est pas une fin en soi, ni pour moi, ni pour le staff, ni pour les joueurs, ni pour le président. C’est un passage obligé. On s’est posé la question en début de saison de savoir si on la jouait ou pas cette Coupe d’Europe. On a bien en tête qu’elle va charger le calendrier de la fin de saison. Rémi Lamerat avait fait la remarque que l’on n’est pas dans une position où l’on doit calculer, gérer les matchs. On doit jouer tous les matchs, toutes les compétitions pour les gagner. On est dans cette optique. C’était important de se qualifier, ce n’était pas un match simple à aborder. Quand on joue ce type d’échéances, comme le match contre La Rochelle où on pouvait prendre la place de leader, ce sont des points de passage qui sont importants. Pour une jeune équipe dans son histoire, qui n’a pas encore gagné, qui ne s’est pas encore qualifié, ça peut être des moments de pression important. Là c’était un moment important. On savait qu’Edimbourg arrivait avec une équipe avec beaucoup d’expérience, solide, qui venait chercher la qualification. C’était important de ne pas douter. On a envie d’aller le plus haut possible, mais il faut aussi apprécier le fait de s’être qualifié à la première échéance, sachant que l’UBB, ça fait quand même longtemps qu’ils n’y arrivent pas. On sait aussi apprécier ça ».