Invité de l’émission 100% UBB, sur les antennes de France Bleu Gironde, notre deuxième ligne, Cyril Cazeaux, est revenu sur la difficile gestion de l’intensité nécessaire à mettre sur les plaquages ou dans les rucks : « La marge est très faible parce qu’on peut vite déraper sur quelque chose de dangereux et non autorisé, alors que si tu te baisse de cinq centimètres de plus, c’est parfait. Après, c’est une phase de jeu que l’on travaille beaucoup à l’entraînement, parce qu’il y en a beaucoup sur un match. C’est une des phases statiques qu’il y a le plus sur un match. C’est la répétition au quotidien pour pouvoir être à la perfection sans trop faire de dégâts derrière. On n’est pas avantagé sur ça avec notre grande taille, mais c’est du travail au quotidien et même depuis que l’on est enfant. On a forcément la technique de plaquage, mais il ne faut pas avoir de vieux réflexes de vouloir taper haut, comme on pouvait le faire avant. C’est très vite sanctionné donc on est vigilants sur ça, donc on essaie d’être propre au maximum« .