Jefferson Poirot : “C’est devenu un poste ultra-concurrentiel où il y a pratiquement sept candidats”

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    Dans les colonnes de l’Equipe, notre pilier international, Jefferson Poirot, est revenu sur la concurrence à laquelle il va devoir faire face, que ce soit à l’UBB ou en équipe de France : “À l’Union, j’ai toujours vécu dans un climat d’émulation et de concurrence, avec Laurent Deboulbès, Sébastien Taofifenua, Steven Kitshoff, Peni Ravaï. Et en équipe de France, c’est pareil. C’est devenu un poste ultra-concurrentiel où il y a pratiquement sept candidats si je me base sur la dernière année. Priso, Baille, Ben Arous, bien sûr, Chaume, Chiocci, ‘Seb’ Taofifenua… La concurrence est bénéfique pour deux raisons. Si le, ou les concurrents, sont bons et meilleurs, ils jouent à ta place. Et ça te remue. Si c’est toi qui joues, tu sais aussi que la concurrence va favoriser une rotation au poste, et là aussi, c’est positif, car nos saisons s’apparentent à un marathon. Ça permet de garder de l’énergie pour le printemps, la fin de saison et d’avoir des temps de récupération avant les rendez-vous internationaux ».