Invité de l’émission Entre les Potos, ce dimanche sur les antennes de RMC, notre manager, Christophe Urios, est revenu sur son expérience avec les Barbarians français, lui qui en avait été le manager pour une tournée en Nouvelle-Zélande : « Ça fait partie des moments magiques d’une carrière d’entraîneur, partir avec les Barbarians français, de surcroît au pays de rugby pendant trois semaines, c’était magique ».

Il est aussi revenu sur son histoire avec l’équipe de France, lui qui était pressenti pour en être le prochain sélectionneur avant de prendre finalement la direction de l’UBB : « Ce n’est pas un regret parce qu’il n’y a jamais vraiment eu de contacts très précis. On avait parlé, il y avait des influences pour que je reprenne. Mais il n’y a jamais rien eu concret, donc ce n’est pas un regret […] Si la mission de l’entraîneur de l’équipe de France se joue au fait de se coucher tôt ou tard, ça fait quand même un peu flipper et je suis quand même très bien à Bordeaux finalement […] Il n’y a pas de débats. L’équipe de France est encadrée. Il y a des nominations qui sont faites pour 2023. Je suis dans un projet où je me sens très bien. Je n’ai ni de regrets, ni d’ambitions particulières. Je considère que l’équipe de France tu n’as pas à te positionner, que ça n’a pas à être un objectif. C’est le président de la FFR qui décide de prendre une personne parce qu’il pense que cette personne est la personne idoine pour le projet. Etant donné que l’on n’est pas venu vers moi de façon très claire, je considère que je n’étais pas la personne idoine. Ce n’est pas mon rêve absolu d’entraîner l’équipe de France ».