Christophe Urios : “Vous ne le voyez peut-être pas forcément, mais il amène vraiment cette joie de vivre dans le groupe. C’est le responsable de la musique”

     

    Interrogé au micro d’ARL, le manager de l’UBB, Christophe Urios, a livré son avis sur notre trois-quart centre néo-zélandais, Seta Tamanivalu, qui se montre décisif sur chacune de ses rentrées depuis quelques rencontres : « Aujourd’hui, c’est un élément important du groupe. On l’utilise davantage comme impact player parce qu’il amène tellement de choses, son agressivité, sa qualité technique. Il amène beaucoup de bonne humeur dans le groupe. J’avais entendu de tout sur lui mais je n’ai pas à me plaindre. Il a fallu le remettre en forme parce qu’il ne l’était pas complètement. Il est arrivé blessé et pas en forme cet été. Mais aujourd’hui, il est à un très bon niveau physique. Il va continuer à évoluer, mais aujourd’hui c’est un vrai joueur formidable. Il couvre aussi le poste d’ailier donc c’est intéressant pour nous. Vous ne le voyez peut-être pas forcément, mais il amène vraiment cette joie de vivre dans le groupe. C’est le responsable de la musique. C’est un rôle important. Ces choix sont toujours à discuter quand même. Je dis ça parce que quand il n’est pas là, on le voit. Il a été grippé le week-end dernier, il avait manqué lundi et mardi il était là, mais il n’était pas trop en forme, mais le vestiaire était mou. Je ne sais pas si c’est ça qui a fait que l’on n’avait pas la flamme, mais en tout cas il fait partie des mecs qui sont capables de mettre de la bonne humeur dans le vestiaire et c’est important. C’est un mec qui compte dans le groupe, qui a une carrière importante, qui a fait une saison mi-figue, mi-raisin la saison dernière semble-t-il. Aujourd’hui, il se retrouve bien dans le fonctionnement. Il lui a fallu un temps d’adaptation. Il a mis un an à s’adapter. Il arrivait de l’hémisphère sud. C’est souvent le cas pour les étrangers qui viennent de l’hémisphère sud. Il a enchaîné les saisons, il est arrivé en décembre un peu blessé au dos. Il lui a fallu quasiment 6 mois pour s’adapter. Ce n’est pas une surprise pour moi. J’aime bien l’avoir dans le groupe. Il me rassure ».