Dans le quotidien Sud Ouest, le président Laurent Marti  assure que la saison ne sera pas forcément un échec s’il n’y a pas de phases finales vu la densité du championnat et les grosses écuries présentes. « À part quatre ou cinq grosses écuries, il n’y a pas un club qui peut se prononcer sur le Top 6. Il y aura deux saisons : celle qui va se dérouler jusqu’en janvier et l’autre. Plus que jamais, des équipes vont connaître des à-coup. Il faudra être patient : ni s’enflammer si on démarre bien, ni s’affoler dans le cas contraire. […] Le Top 6, c’est le rêve absolu. Mais on peut aussi être satisfait en terminant 8^e, si Montpellier et son énorme effectif sont à leur niveau et si Castres reprend sa place ». Pour appuyer ses propos, il préfère donner un objectif non chiffré : « Une saison réussie, ce sera d’avoir tiré la quintessence de notre effectif et analysé sa juste place par rapport à la concurrence ».