Maxime Lucu : « Je ne pouvais pas me venger car ils étaient plus costauds »

 

Interrogé par l’Equipe, notre demi de mêlée, Maxime Lucu, s’est confié sur son statut de petit du groupe lors de sa jeunesse : « J’étais toujours en bas, pareil dans les bagarres. C’est l’histoire de ma vie (rire). Je ne pouvais pas me venger car ils étaient plus costauds. Pour la confirmation et la classe de cinquième, on a atteint le summum ! C’était connerie sur connerie. On commençait un peu à aller aux fêtes de villages, aux autos tamponneuses. De septembre à juin, c’était n’importe quoi. Les soirées à Irun (Espagne), c’est arrivé un peu plus tard, vers 17-18 ans. Avant, on n’avait pas trop le droit de sortir. On s’est bien rattrapés depuis. Pour ça, on a de l’imagination« .