Christophe Laussucq : “On va avoir une copie conforme d’un adversaire qui ne nous a pas réussi samedi dernier”

Invité de l’émission 100% UBB, sur les ondes d’ICI Gironde, notre entraîneur de la défense, Christophe Laussucq, s’est confié sur le match à venir face à Lyon :
“C’est une équipe qui ne nous réussit pas, qui nous a battu deux fois l’an dernier, qui ressemble beaucoup à ce que fait le Stade Français avec une défense assez agressive, une équipe qui joue beaucoup au pied, qui s’appuie sur un gros paquet d’avants. On va avoir une copie conforme d’un adversaire qui ne nous a pas réussi samedi dernier. Il y a de quoi être inquiets ou en tout cas ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il va falloir que l’UBB réhausse son niveau de jeu dans tous les secteurs dont on a parlé précédemment parce que c’est une équipe qui est dangereuse”.
Il est aussi revenu sur l’importance de gagner à l’extérieur pour espérer se qualifier en championnat :
“Si on veut se qualifier, être dans les deux premiers, il faut gagner dehors. L’an dernier, on se qualifie parce qu’on a gagné six fois dehors. Une équipe qui gagne à domicile, mais qui perd tous ces matchs à l’extérieur, elle fini en milieu de tableau, c’est mathématique. Il faut aller chercher des points à l’extérieur. Il faut vite gagner dehors. Je ne sais pas si vous vous rappelez, mais l’an dernier, c’est la victoire à Toulouse qui nous a lancé. Il y a deux ans, on avait eu un début de saison qui n’était pas non plus fabuleux et on avait gagné à Oyonnax et ça avait lancé une série de 8 ou 9 victoires. Parfois, il suffit d’enclencher quelque chose de positif à l’extérieur. On n’est jamais à l’abri d’une défaite à domicile donc pour se qualifier, il faut un classement britannique positif, donc il faut enchaîner plusieurs victoire à l’extérieur. On n’espère ne pas attendre la dernière journée. Si on veut vivre une belle saison et se donner des chances de jouer des demi-finales directement, il ne faut pas perdre trop de points en route. On a pris zéro points sur nos deux premiers déplacements. C’est déjà trop peu”.