Interrogé au micro d’ARL, notre manager, Christophe Urios, s’est exprimé sur l’utilisation qu’il faisait de la Challenge Cup pour faire tourner un peu son effectif et reposer certains joueurs : « Même si c’est un objectif affiché et important, comme beaucoup d’équipes, j’avais dit que je ferais tourner, je l’ai fait, je continuerai à le faire sur ce match, je le ferai aussi sur les matchs d’Agen. Ça doit nous servir aussi à réinjecter des mecs, à revoir des garçons, à reposer d’autres mecs. La semaine dernière, on avait reposé des garçons comme Maxime Lucu, Vadim Cobilas, Kane Douglas, des garçons qui avaient beaucoup joués. Là ça va être le cas de Cyril Cazeaux, Yann Lesgourgues, Alexandre Roumat, qui ont des temps de jeu élevés. C’est une façon de réinjecter Beka (Gorgadze), que je n’ai pas encore vu […] La difficulté que j’ai, c’est que quand on injecte beaucoup de joueurs qui arrivent de la Coupe du Monde, ce n’est pas facile. Même si on l’a fait au compte-goutte. Il faut que les mecs s’approprient les choses. L’équipe a 4 mois de vécu. Ce n’est pas neutre. Quand tu arrives là, ce n’est pas simple, même si tu es un grand joueur. Il faut qu’eux aussi fassent des efforts pour se fondre dans l’équipe, apprendre ce que l’on fait, pour s’intégrer encore plus vite. On n’a quasiment pas de blessés, on a un effectif qui est riche et homogène ».