Christophe Urios : « On va mettre les plus rapides. Je pensais mettre Santiago Cordero pilier droit, Blair Connor à gauche. On ne fera pas de mêlées parce qu’on ne fera pas d’en-avant (rires) »

 

Interrogé au micro d’ARL sur la composition qu’il comptait aligner contre le Racing 92, vu que le match se disputera sur un terrain synthétique, notre manager, Christophe Urios, n’a pas manqué de répondre sans une petite pointe d’humour : « On va mettre les plus rapides. Je pensais mettre Santiago Cordero pilier droit, Blair Connor à gauche. On ne fera pas de mêlées parce qu’on ne fera pas d’en-avant (rires). C’est toujours un équilibre, mais je trouve que l’on a une équipe qui est capable de bien s’adapter à ce type de surface. On a de la vitesse, du punch, après ça reste le combat. Ça reste du rugby même si ça va plus vite, plus fort. Après, c’est comment tu te prépares mentalement. La semaine dernière, la dernière interview que j’ai faite ici, je n’étais pas content parce que j’avais vu des choses qui ne me plaisait pas. Ça s’est vu au match d’Édimbourg. On a passé la première mi-temps à dormir et je l’avais senti arriver. Ce n’est pas possible. Ce n’est pas de la fatigue, c’est dans la tête. On n’a pas le droit de choisir les matchs, de regarder ce qu’il se passe, de se dire que peut-être on peut gagner ou que l’on va choisir. Il faut que l’on se prépare à chaque match comme si c’était le dernier de la saison […] Quand tu joues le Racing à cette période, tu ne regardes pas le classement, mais ce qu’il y a en face, et là c’est solide ».