Interrogé au micro d’ARL, notre troisième ligne, Alexandre Roumat, a livré son avis sur l’intensité des séances d’entraînement cette année, notamment celles du mardi : « Les oppositions que l’on a en face à l’entraînement, en fonction des mecs qui jouent, des équipes alignées, c’est vrai que l’on tombe quelques fois sur de belles bêtes. Ça te pousse chaque semaine à essayer de performer, de t’améliorer après les entraînements, pendant les entraînements, avant, dans ta préparation en dehors. Tu sais que si tu n’es pas bon, tu dégages parce qu’il y a un mec qui pousse derrière. Cette année, c’est un fonctionnement qui marche bien parce qu’il y a des mecs qui jouent moins, mais ils s’envoient peut-être encore plus que ceux qui jouent et poussent le groupe vers le haut. Si on en est là où on en est, c’est aussi grâce aux 10 à 20 mecs qui ne sont pas sur les feuilles tous les week-ends. Toute la semaine, ils nous font travailler, nous bousculent et nous mettent la pression. Parfois on s’accroche, mais il y n’y a que comme ça que l’on peut grandir et performer dans ce championnat ».