Invité de l’émission animé par l’ancien pilier, Christian Califano et le journaliste, Lucas Bertolotto, sur la page d’Absolurugby, notre troisième ligne, Alexandre Roumat, est revenu sur ce que représentait pour lui de porter le nom de son père : “Ce que je dis souvent et que je pense, c’est que ce soit à Biarritz ou même le fait de porter son nom n’a jamais été un frein. Pour moi c’est un énorme avantage. C’est quelqu’un qui a connu l’amateurisme, le professionnalisme, qui m’aide, me conseille, mais me laisse découvrir le milieu du rugby petit à petit sans tout me dire. Jouer à Biarritz, c’était à la foi un immense désir et un immense honneur, parce qu’à la base je suis supporter. Sans parler d’être le ‘fils de’, j’étais supporter du Biarritz Olympique depuis l’âge de 4-5 ans, où je commence à me rendre un peu compte de ce qu’il se passe sur un terrain. J’étais en rouge et blanc avec le maillot de mon père et j’allais le voir à tous les matchs. Quand à 16 ans, il s’est posé la question de partir au pole Espoir de Bayonne, j’avais le choix entre Bayonne et Biarritz pour passer un cap, autant te dire que le choix a été fait en 30 secondes“.