Christophe Urios : « On m’a dit ‘surtout, ne réponds pas. À chaque fois que tu as envie de lui répondre, va manger une glace !’. Le problème, c’est que je vais manger tout mon stock de glaces de l’été ! »

 

Interrogé dans les colonnes du Midi Olympique, notre manager, Christophe Urios, est revenu sur ses déclarations sur la formule à adopter pour la suite du championnat, qui avaient notamment provoqué l’ire de l’ancien président toulonnais, Mourad Boudjellal : « Aujourd’hui, je reconnais qu’il y a des choses tellement plus importantes que le rugby que je peux comprendre que mon discours ait été considéré comme déplacé mais en même temps, mon job – et tout le monde le fait -, c’est bien de travailler sur la reprise. Ce serait totalement indécent de ne pas parler de la reprise. On m’a posé la question, j’ai répondu. C’est important pour moi : je dois protéger le travail de mes joueurs, et le travail de mon club. Je serais tellement fier d’offrir les phases finales à Bordeaux et à Laurent Marti qui les méritent. Après, je n’ai aucune leçon de vie à recevoir de qui que ce soit. Le reste, c’est de l’enfumage et cela ne me fait ni chaud, ni froid donc je ne répondrais pas. D’ailleurs, quelqu’un m’a écrit au lendemain des déclarations de l’ancien président de Toulon (Mourad Boudjellal, ndlr), en me disant : ‘Surtout, ne réponds pas. A chaque fois que tu as envie de lui répondre, va manger une glace !’. Le problème, c’est qu’à ce rythme, je vais manger tout mon stock de glaces de l’été ! […] Plus sérieusement, je terminerai toutefois par une chose : le match le plus important à gagner, c’est celui qui nous oppose à cette épidémie. Le reste…« .