Guido Petti : « C’est quelqu’un avec qui je m’entends très bien, il était là pour moi depuis mon arrivée »

     

    Invité du podcast de l’Union Bordeaux-Bègles, En Bord Terrain, notre deuxième ligne argentin, Guido Petti, est revenu sur l’importance de la mixité culturelle pour lui au rugby, même si retourner en Argentine avec sa sélection est tout de même important aussi :

    « Je crois qu’en Europe, tant en Premiership qu’en Top 14, ce qui est de bien, c’est qu’il y a des joueurs de tous les pays. Chacun apporte sa culture, son jeu, sa mentalité dans son club. Ca fait du bien d’entendre d’autres manières de voir le rugby. C’est la richesse du rugby d’avoir des joueurs qui viennent de partout. Après avec l’Argentine j’évolue au niveau international, donc je sens que ça me fait du bien pour mon jeu, je dois m’adapter à une autre vitesse, je joue un autre jeu. Quand on revient en Top 14 ou en Champions Cup, c’est différent, même s’il y a des joueurs qui sont plus durs qu’au niveau international parce que c’est plus costaud, plus lent, que le climat est différent, on peut quand même apporter à l’équipe sa petite touche argentine. C’est ça qui me fait du bien quand je rentre en Argentine et que je reviens à Bordeaux après. J’apporte ma mentalité, mon physique et mon énergie à l’équipe ».

     

     

    Il est aussi revenu sur les joueurs avec lesquels il s’entendait le mieux au sein de l’effectif actuel :

    « Il y a pas mal de joueurs avec qui je m’entends bien. Nans, même si c’est un joueur avec de l’humour et que tout le monde connaît comme ça, c’est aussi quelqu’un de bien. J’ai beaucoup de conversations profondes avec lui. C’est quelqu’un avec qui je m’entends très bien, il était là pour moi depuis mon arrivée. Ca compte beaucoup pour moi. Avec Jean-Baptiste Dubié, c’était les deux premiers à me recevoir. Je m’entends vraiment avec tout le monde, Max Lamothe, Cyril, Jeff, Max Lucu, Mamad, même des jeunes comme Nico ou Loulou. Il y a une bonne ambiance dans le club, qui permet de profiter avec tout le monde ».

    Source: En Bord Terrain