Arnaud Carré : “Je ne pense pas que le côté ‘on ne joue pas la Champions Cup’ soit vraiment un frein pour les joueurs de l’hémisphère sud”
Malgré une non-présence dans le Top 6 et donc une non-qualification pour la Champions Cup, l’UBB arrive à rester attractive sur le marché des transferts et à faire venir de grosses pointures pour la saison prochaine, comme Semi Radradra ou Seta Tamanivalu. Arnaud Carré, journaliste pour France Bleu Gironde, est revenu sur les explications de cette attractivité : « Il y a des raisons économiques, quand on dit que le président, Laurent Marti fait l’effort. On évoquait Radradra, ce n’est pas la première fois qu’il essaie de le faire venir. C’est la 2ème ou 3ème fois. Il lui est passé sous le nez à plusieurs reprises, du coup il sait que Bordeaux s’intéresse à lui. S’il peut être la star d’une équipe et financièrement avoir les mêmes conditions à Bordeaux, peut-être qu’il peut tenter le challenge. Les échecs des années précédentes et notamment de l’été 2017. Ils sont plus sur des énormes joueurs, des joueurs top classes mondiale, que le président avait ciblés genre Israel Dagg, Dane Haylett-Petty, l’australien. Des dossiers où il s’est un peu fait bananer par les agents. Il avait réussi à faire venir Ashley-Cooper et Kepu. Quand un très bon joueur de l’hémisphère sud, vous lui proposez le Top 14, un cadre de vie plutôt agréable, c’est le cas de Bordeaux et un salaire adéquat. Je ne pense pas que le côté ‘on ne joue pas la Champions Cup’ soit vraiment un frein pour les joueurs de l’hémisphère sud ».
