Jean-Baptiste Dubié : « On s’est rendu compte qu’il y avait plein de gens en commun qu’on connaissait »

 

Interrogé dans le cadre d’un nouvelle émission, l’interview canapé, notre trois-quarts centre Jean-Baptiste Dubié est revenu sa première rencontre avec Nans Ducuing, et sur tous les points qu’ils avaient en commun :

On a 2 ans d’écart, c’est pour ça qu’on s’est jamais croisé sur les terrains en Jeunes. Ça a facilité les choses parce-que en fait quand on a croisé nos vies, on s’est rendu compte qu’il y avait plein de gens en commun qu’on connaissait, jusqu’à qu’on apprenne que mon oncle avait joué avec son père à Saint-Lary Rugby, et que mon père avait joué face à son père à Saint-Lary Rugby. Mon père étant un grand montagnard, son père aussi, ils on échangé leur numéros, ils sont à la retraite tous les deux et ils vont à la montagne ensemble. Forcément ça a aidé à ce qu’on s’entende bien. Il y a des atomes crochus quand tu viens d’un petit village comme ça, on a connu les mêmes choses, les mêmes styles de vie parce-que nos familles elles sont un peu pareil. En plus, c’était rugby dans sa famille, son père a beaucoup joué au rugby, le mien aussi donc ils se sont forcément croisés, donc c’était marrant quoi. Le premier jour où on arrive à Bordeaux, je m’en souviendrais toujours, on avait fait la prépa à côté du Matmut, au vélodrome et on s’est retrouvé à côté tous les deux et le mec à osé me dire « on a joué face-à-face, Mont-de-Marsan-Perpignan, je t’avais mis une énorme buche, ça avait résonné dans tout Guy Boniface ». Je men souviens pas, je me souviens juste d’avoir gagné mais le reste je m’en souviens plus, et lui te diras que c’est vrai.