Christophe Urios : “On est pas à l’époque des centurions, c’est pas ça que je dis mais le rugby ça reste un sport de combat, un sport physique”
Dans l’émission Comme à confesse du Midi Olympique, l’entraîneur de l’UBB, Christophe Urios, s’est confié sur l’importance que peut avoir un plaquage, mais aussi un regard, lors d’un match : “J’allais te dire, c’est un peu les deux. J’ai en tête le plaquage de Chabal sur Masoe, il met un énorme plaquage, il le fait reculer, il le démonte et après il le regarde en lui mettant la tête dans le sol. Ça donne une énergie terrible à toute l’équipe, c’est la vérité. On est pas à l’époque des centurions, c’est pas ça que je dis mais le rugby ça reste un sport de combat, un sport physique. La réalité du haut niveau c’est ça. Je suis désolé, quand tu regardes la finale de la Coupe d’Europe entre Toulouse et La Rochelle, on a vu deux superbes équipes, qui sont capables de jouer du très très beau rugby mais ce jour-là elles avaient décider de s’user physiquement et de faire un énorme match dans le combat parce qu’il y avait très peu d’espaces. C’est la réalité du haut niveau, il ne faut pas l’occulter”.