Interrogé au micro d’ARL, notre demi de mêlée, Maxime Lucu, est revenu sur la gestion des internationaux : « La seule gestion qu’il y a eu, c’est que quand tu es en tournée en novembre, les copains sont en vacances et toi non, donc quand on est revenu, on avait une semaine de vacances obligatoire. Je l’ai eu et c’est primordiale pour le joueur parce que sinon la saison est longue. Sinon dans la gestion du joueur, pour ma part et même pour Matthieu ou Yoram, il n’y a pas de traitement particulier. Il y a des roulements qui sont fait mais le club reste le club. Ce sont des saisons particulière parce qu’il y a énormément d’échéances au niveau international, mais il y a aussi des échéances importantes avec le club. On sait que quand on revient en club, on est des éléments importants pour l’équipe, il faut que l’on soit là à 100% et le plus présents possible. On fait confiance aux coachs, ils ont besoin de nous; on joue. Parfois, comme la semaine dernière, j’étais remplaçant et il faut remplir ce rôle à merveille et quand on rentre faire le taf. Forcément que les joueurs qui jouent beaucoup sont mis au repos, mais c’est un peu le dialogue avec le staff, mais tant que l’on est en forme, on respecte ce que disent les staffs. Ce sont des saisons longues mais il faut faire avec et on est à 100% avec le club. C’est une gestion que le staff et le club doit avoir. On a traversé des périodes avec beaucoup de blessés, pas mal de malades, il faut palier à la situation du club. C’est plus facile quand tout va bien et que tout le monde peut s’entraîner et que l’effectif est au complet. Il faut gérer avec, ce sont des situations pas évidentes. Il y a une part de chance dans la saison qui fait que tu peux faire tourner plus parfois. Le Stade Toulousain n’a pas forcément pu la saison dernière, parce qu’ils ont eu ces défaites qui ont fait qu’ils avaient besoin de points. Quand les internationaux reviennent, tu es obligé de te servir de ces joueurs là parce que tu as aussi tes objectifs de club. Ce sont des situations que l’on a dans tous les clubs toutes les saisons, parce qu’il y a de la chance, de la malchance. On est là pour respecter ce que veut le club et pas pour discuter« .