Bastien Vergnes-Taillefer : “Ça change quelque chose, le fait qu’il soit là, ça nous amène un peu de confiance”
Invité de l’émission Top Rugby, diffusée sur les antennes de TV7, notre troisième ligne Bastien Vergnes-Taillefer est revenu sur l’un des faits marquants du week-end : le retour sur les terrains de notre demi de mêlée international, Maxime Lucu, après plusieurs semaines d’absence. Ce dernier a retrouvé la compétition lors de la belle victoire face à l’Aviron Bayonnais, apportant toute son expérience et sa maîtrise au groupe bordelais. Pour Bastien Vergnes-Taillefer, la présence du capitaine de jeu a eu un impact déterminant sur la performance collective :
“Maxime est un de nos gros leaders, c’est un gros compétiteur. Ça change quelque chose, le fait qu’il soit là, ça nous amène un peu de confiance. Stratégiquement dans la semaine, il prépare les matchs avec Noel, sur les lancements notamment. C’est quelqu’un qui est très passionné, qui vit pour ça la semaine, toute la semaine il pense au match. Pour nous, ça nous met un peu plus dans le confort. Ça nous rassure. C’est un des stratèges de notre équipe et quand il est là, ça se ressent sur le terrain. On est très contents pour lui qu’il ait pu participer au match et qu’il ait rejoint l’équipe de France”.
Le troisième ligne s’est également exprimé sur la stratégie mise en place par le staff et le groupe pour contrer le solide pack bayonnais. Il est notamment revenu sur les consignes précises données avant le match et sur la réussite du secteur de la conquête, point fort de la soirée bordelaise :
“Les consignes, c’était que c’était un gros alignement de contre en touche, on savait que si on réussissait à avoir nos ballons, c’était un peu plus dur de défendre en bas après avoir sauté, donc la stratégie c’était d’alterner avec des mauls et des lancements plutôt classiques derrière. Les mauls nous ont plutôt bien réussi, que ce soit au niveau des avantages ou des pénalités ou même pour marquer des essais. Devant, on est contents, on a fait un match plein sur 80 minutes. Les arrières en profitent et brillent, mais c’est bien qu’on ait pu enclencher la marche avant et mettre nos trois-quarts sur de bons rails”.
