Interrogé par Ouest-France, le pilier Espoir de l’UBB, Raphaël Ropars, s’est confié sur le côté professionnel du rugby et ce qui lui avait manqué pour atteindre ce niveau : “Forcément le rugby s’est professionnalisé. Ce sont plus les mêmes enjeux. Un club professionnel a un besoin de résultats, mais ça c’est partout pareil, mais surtout de faire des bénéfices pour pouvoir survivre, pour pouvoir grandir, pour pouvoir trouver de nouveaux joueurs et accueillir un public qui est toujours plus nombreux dans le rugby français. Alors forcément l’aspect convivial sur le club va forcément changer […] Je n’ai pas pu toucher le milieu pro car il y a un aspect technique qui m’a manqué. Sur la mêlée, j’ai été défaillant à certains moments, je n’ai pas pu me montrer assez, je n’ai pas été suffisamment performant. Je travaille pour, surtout sur l’aspect mental. Que ça soit physiquement, techniquement, mentalement, la mêlée a toujours eu un aspect compliqué et sur l’aspect mental, il m’a manqué le petit truc qui fait que je puisse passer ce cap-là“.