Coup de gueule d’Etcheto mardi
Dans une longue et intéressante interview à rugbyrama, Vincent Etcheto revient sur la rencontre de Clermont, la concurrence au sein du groupe et le prochain match face à Castres. Mais aussi et surtout sur un petit coup de gueule qui a eu lieu sur le terrain mardi. Si dans la communication l’on comprend que ce coup de gueule a lieu pour que les joueurs ne se démobilisent pas, c’est assez rare de voir l’entrainement des arrières lever la voix. « Ce n’était pas trop prévu, je n’aime pas trop gueuler, ça me fait mal à la tête. Ce que j’aurais préféré, c’est que ça roule. Dès fois, les joueurs sont humains, ils sont comme tout le monde, il y a du relâchement. Je dis souvent que ce sont des grands enfants, ils ont été mignons et tout d’un coup, ils sont un peu vilains. Alors sans leur mettre une fessée, c’est leur dire qu’il y a des choses à respecter, se respecter soi-même, se remettre en question, respecter aussi les autres, respecter aussi ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir jouer et qu’on continue à travailler. S’il y a besoin d’élever la voix, ce n’est pas notre tasse de thé ni à Raph (Ibanez), ni à Régis (Sonnes) ni à moi. Régis l’avait fait la semaine dernière pour dire aux avants qu’ils étaient passés à côté à Brive et moi je les fais au collectif ce matin parce que je pensais qu’ils étaient dans un entraînement plus que moyen. C’est aussi pour confirmer l’adage de Raph « on joue comme s’entraîne » car si on joue comme on s’est entraîné ce matin, on risque d’avoir des problèmes contre Castres ».
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