Christophe Urios : “Je suis venu pour le défi sportif évidemment, mais je vois le vin autour de moi d’un bon œil”

Interrogé par La Dépêche, Christophe Urios a déclaré ne pas être venu à Bordeaux pour ses vignes, mais bien pour son projet sportif :
C’est marrant. Je ne suis pas venu pour ça, vous le comprenez bien, mais je crois beaucoup à ces clins d’œil de la vie, explique-t-il. Je suis venu pour le défi sportif évidemment, mais je vois le vin autour de moi d’un bon œil. D’ailleurs, j’habite à Carignan. Je crois à ça.
Natif de Pépieux, l’ancien talonneur a grandi au milieu des vignes du Minervois. Il n’était donc pas familier des vignes du Bordelais avant son arrivée à l’UBB :
Ici, ils aiment montrer. Je ne connaissais pas trop le Bordelais mais il y a des domaines fantastiques. Ils sont bons, c’est la classe franchement. Après, on ne parle pas du même métier. Si tu veux acheter un Saint-Emilion, c’est 300 000 € l’hectare.
