Christophe Urios : “Si mon père voyait ça, il nous traiterait de fous !”

     

    Interrogé par Sud-Ouest, notre manager, Christophe Urios, reconnaît que maintenant qu’ils se sont réconcilié, son père surveille de loin les activités viticoles de son fils, notamment au château Pepusque qu’il vient de racheter : “Il ne le dit pas, mais je pense qu’il est fier […] Il regarde ce qu’on fait. Il doit même râler quand ça ne lui convient pas (sourire). J’ai le diable de ne pas réussir […] J’ai passé mon diplôme il y a trente ans […] Par exemple, sur Lou Peyrou, on a fait de la taille en vert : on a coupé des grappes encore vertes pour obtenir un meilleur équilibre. Si mon père voyait ça, il nous traiterait de fous ! C’est une partie de la production que l’on sacrifie. Mais c’est aussi le prix de la qualité”.