Alexandre Roumat : « Beaucoup de mecs disent que je suis un trois-quart refoulé »

     

    Lors de son passage dans l’émission animée par l’ancien pilier, Christian Califano, et le journaliste, Lucas Bertolotto, sur la page d’Absolurugby, notre troisième ligne, Alexandre Roumat, a été amené à répondre à un petit questionnaire.

     

    S’il avait été amené à jouer à un autre poste : « 13. Jeune quand j’ai commencé, j’avais des mitaines et une grande mèche devant les yeux et je jouais derrière. Beaucoup de mecs disent que je suis un trois-quart refoulé. Je suis toujours avec eux en train de déconner. Et en plus c’est un poste que je trouve joli. Tu touches des ballons, tu as un peu les mêmes tâches qu’un troisième ligne mais en ayant plus souvent le ballon. C’est un poste que j’aime bien« .

     

    S’il devait être un autre rugbyman : « Kieran Read. Tant qu’à faire, j’en choisi un bon. Pour moi c’est le troisième ligne moderne par excellence. Beaucoup de gens voient un numéro 8 puissant maintenant, destructeur. Moi je conçois le poste de numéro 8 comme un passeur, parfait liant entre avants et trois-quarts. Et pour moi il représente la science de ce liant entre troisièmes lignes, avants et trois-quarts« .

     

    S’il était un geste technique : « Le petit rasant, que j’ai déjà réalisé 2 ou 3 fois en match. Pas forcément avec un très bon résultat, mais ça m’est déjà arrivé« .

     

    S’il devait être un trophée : « Celui du plus nonchalant. Sauf sur le terrain, tous mes camarades disent que je suis assez nonchalant et que j’ai même parfois une démarche un peu arrogante« .

     

    S’il devait être en coloc avec un partenaire : « Je dirais Maxime Lucu parce que c’est un ami depuis longtemps, depuis Biarritz, c’est quelqu’un que j’apprécie énormément, qui en plus de ça est célibataire, donc il ne va pas me casser les ronflons à aller voir sa gonzesse. On pourra faire des choses ensemble, aller boire des cafés, des coups en ville. En plus c’est un bon vivant et il est dans le même état d’esprit que moi« .

     

    S’il devait choisir la chanson de la victoire : « J’écoute énormément de musique, mais j’ai un gros défaut, je ne me rappelle d’aucun titre. C’est bien on a Spotify maintenant. Je ne sais pas du coup. Honnêtement, j’aime un peu de tout. Je ne suis pas trop variété française, je suis plus sons anglais, américains, des années 70-80, récents, rap. J’écoute un peu de tout. Mais je n’en ai pas une en tête là« .

     

    S’il devait changer de sport : « Sans hésiter, le basket. (Interrogé sur le golf) Je ne vais pas m’attarder sur le sujet parce que sinon mon camarade Nans Ducuing va venir me dire qu’il me bat à chaque fois et que je n’en garde pas un pichet. Mais on peut dire que je me débrouille pas trop mal. Je vais sur des parcours pour le peu de temps que j’en fait. Mais sinon le basket, parce que je suis fondu de NBA. J’adore ça. J’ai eu la chance d’aller voir un match à Miami quand j’étais petit. Quand il y a la saison, je suis les grosses affiches le dimanche soir. Je suis un fan de Lebron James. Donc le basket sans hésiter, mais en NBA. Je parle de la Rolls-Royce du basket, malheureusement tout le monde n’a pas la chance de jouer en NBA. Mais c’est un truc qui me ferait kiffer« .